Antoine Moreau on Tue, 25 Jan 2000 11:07:39 +0100 (CET)


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[nettime-fr] [Copyleft Attitude] les 21,22,23/01/00 Acces Local



Liberté, égalité, fraternité...

C'est ainsi que commence Richard Stallman ses conférences et c'est ainsi
que nous comprenons le travail de l'art. Pour toute création vraiment libre
et de toute invention réjouissante. En art, comme en informatique, en droit
comme en politique, etc.


	[Copyleft Attitude] les 21,22,23/01/00 Acces Local [Compte-rendu,
version 1.0]

On s'imaginait bien qu'entre gens créatifs et préoccupés par la liberté,
l'égalité et la fraternité, il y aurait un langage commun.

Nous avions décidé de commencer ces trois journées par de l'information
franchement pédagogique sur les logiciels libres, Linux et la GPL sachant
bien que le monde de l'art n'était pas forcément au courant de ces notions.

Ce qui suit est une brève tentative de compte-rendu de ces 3 journées, un
numéro spécial de la revue Allotopie rendra-compte, au terme de  deuxième
partie "copyleft attitude" à public> (4 passage Beaubourg) les 24,25,26
mars, de la globalité de "copyleft attitude".



	Vendredi 21/01/00 :
(Beaucoup de monde, près d'une centaine, l'entrée Potlatch fonctionnant à
merveille : chacun donnant (on a vu de tout, cd-rom, pied de porc, livres,
fauteuil, preservatifs, bières, gâteaux, etc) quelque chose et repartant
avec autre chose. )

- Bernard Lang, responsable scientifique à l'INRIA (Institut National de
Recherche en Informatique et en automatique) et trésorier de l'AFUL
(Association Francophone des Utilisateurs de Linux et des Logiciels Libres)
ouvre le colloque avec une présentation des enjeux du logiciels libres par
rapport aux logiciels propriétaires. Outre l'aspect purement informatique
et les qualité techniques du logiciel libre, il montre ce qui est attaché à
cette conception de l'informatique : nos libertés, la protection de notre
vie privé, notre capacité à créer sans entrave et à être en intelligence
avec, à la fois l'objet de notre travail, mais aussi ses utilisateurs.

- Le LUG Parinux, avec Benoit Picaud, Laurent Martelli, Olivier Berger et
Laurent Ciarka, a ensuite expliqué la manière dont s'est créé ce
regroupement d'utilisateurs de Linux sur Paris et montré la force
mobilisatrice et constructive de l'internet pour créer collectivement. Il
se dégageait de cette expérience concrète d'utilisateurs chevronnés, une
forte impression de liberté, voire de candeur à pouvoir ainsi être en
communauté (plus de 300 inscrits sur la mailing-liste Parinux) et exercer
librement leurs compétences. Cette liberté étant  aussi la marque d'un
réalisme intransigeant vis à vis de la situation socio-économique du monde
et de la mainmise propriétaire de ceux qui fabriquent des logiciels mal
écrits et fermés et dont le but est de contrôler l'existence.

- Frédéric Couchet, Président d'APRIL (Association pour la Promotion et la
Recherche en Informatique Libre)  rappelait l'histoire des logiciels libres
en précisant que ceux-ci sont pionniers dans l'histoire de l'informatique,
que le projet GNU est antérieur à Microsoft et consorts et que la GPL fut
imaginé par Richard Stallman pour résoudre un problème bien précis d'accés
à la connaissance des sources d'un système. Vraiment une question de simple
liberté. Tout commence avec la liberté. Je remarquais dans le public, et ce
depuis le début, une qualité d'écoute, une application à apprendre et
comprendre l'histoire des logiciels libres vraiment exceptionnelle. Nous
étions sensibles, non pas à un objet d'art classique, mais, à travers une
pratique qui ne se considère pas de prime abord comme "artistique", à
l'objet DE l'art. A ses règles, dont la première est la liberté et le
partage de cette liberté.

- Il était temps de passer à l'explication de la GPL (General Public
License) et des aspects juridiques du libre avec David Geraud, juriste.
Malgré la complexité du texte et de sa traduction en français
non-officelle, les choses sont claires et vraiment excitantes : Il s'agit
là d'une licence juridique, initié par la Free Software Foundation,
l'association de Richard Stallman et qui ajoute au simple copyright de plus
en plus dépassé par les événements, une protection pour garantir la liberté
à l'utilisateur de jouir pleinement du logiciel. La GPL empèche la
captation propriétaire et permet la libre circulation des informations et
de ses sources. Mélanie Clément-Fontaine, juriste et auteur de la première
étude juridique sur la GPL (DEA de Droit des créations immatérielles
(Faculté de Droit de Montpellier)) reviendra tout au long de ces 3 jours
pour préciser la réalité de cette licence et de ses enjeux (voir plus loin).

-	A vrai dire, beaucoup de gens dans la salle découvraient un nouveau
monde. Une nouvelle réalité dont les impératifs ne sont pas la vente à tout
prix, la captation propriétaire et la mainmise sur le monde, mais, à
travers des objets réalisés dans les règles de l'art, il est question de
liberté, d'égalité et de fraternité. Le débat pouvait commencer et les
questions furent nombreuses, les réflexions très intéressantes.
- Eve Nyle, de l'association "PAM", posa la question qui brûlait les lèvres
de tout le monde : "c'est bien joli tout ça, mais comment on fait
maintenant pour manger?" Que devient la beauté de la liberté face à la
réalité économique et sociale des créateurs (artistes & informaticiens)? La
réponse a été donné grace à un exemple par Benoit Picaud (othon en emporte
le vent ;-) de Parinux : le produit étant libre, il est donné à une
entreprise, mais, pour la configuration du logiciel aux besoins de cette
entreprise, il faut payer. Ce n'est pas l'objet qui est source de revenus,
mais le service "périphérique" qui s'y attache. Le dérivé du produit.
- A toutes ces questions qui fusaient dans la salle, François Deck proposa
à chacun de les rassembler dans une "Banque de questions" qu'il a concu
spécialement pour "Copyleft Attitude". Un carnet pré-découpé pour recevoir
des questions afin de les ordonner, recouper, classer, croiser pour
faciliter les réponses et les enrichir d'une transversalité nécessaire.
Contact : <fdeck@club-internet.fr>.
- J'oublie des interventions passionnantes. La soirée prenait fin, elle
aurait pu continuer jusqu'à l'aube. Quelque chose nous tenait en éveil et
allumait nos esprits...


	Samedi 22/01/00 :
(autant de monde qu'hier, la table qui reçoit les biens du potlatch croule
sous les propositions.)
- Nous commençons avec Eric Watier, universitaire et créateur de la revue
"Domaine Public". Au tour maintenant, des informaticiens, à avoir des
informations sur les pratiques artistiques qui peuvent se réclamer d'une
attitude proche de l'esprit du copyleft. Eric Watier nous lit un
recensement  de gestes artistiques qui, depuis 1953, ont pratiqué le don,
la gratuité et la perte.

- Brian Holmes rappelle l'exigence de l'art qui a une économie qui n'est
pas celle de l'économie marchande. Le travail que fait "Ne pas plier" est
un travail de proximité avec la réalité et les problèmes socio-économiques
rencontrés dans cette réalité. L'économie du don est moteur pour l'art. Et
si on mettait une peu d'"essence financière" dans ce moteur?... Autre chose
: dans une logique de proximité auteur/public, que devient le producteur,
l'intermédiaire?

- Meyryem Marzouki, Présidente d'IRIS (Imaginons un Réseau Internet
Solidaire), bien que peu concernée par les question de l'art contemporain,
trouvait sa place parmi nous en évoquant l'importance de la protection de
la vie privée, de la liberté individuelle et du bien public pour tous les
citoyens utilisant ou non les réseaux de communications.  La sculpture
sociale prend forme aujourd'hui et c'est l'Internet. Les chercheurs
scientifiques, se trouvent confrontés aujourd'hui à des restrictions qui
mettent en péril leur travail et sa libre circulation, son utilisation. En
art, comme en science, la recherche est toujours menacée par les volontés
de mainmise sur le savoir et sa circulation.

- Pierre Bongiovani, Directeur du CICV (Centre International de Création
Vidéo) se demandait et nous demandait, s'il était dans une attitude
copyleft. Qu'est-ce que cela veut vraiment dire? Est-ce une simple posture,
une "rock'n'roll attitude"? Certainement pas et donc, cela impliquait
quelque chose de beaucoup plus profond que la gratuité et le don, cela
impliquait un certain abandon.  S'abandonner à concevoir le partage des
richesses, des informations, du travail, comme une véritable source de
richesse, d'information et de travail. Ce qui est plutôt, de prime abord,
déstabilisant. Ou l'équilibre (je ne vous raconte pas l'histoire éclairante
de la chaise qui tient sur trois pieds, le quatrième étant celui du
déséquilibre...) se trouve dans la mise en oeuvre d'un savant déséquilibre.

- Laurent Ciarka, Président du GUL Parinux intervient pour préciser que
dans le logiciel libre, il n'est pas question de gratuité et de don, mais
bien de liberté. On peu, si on veut, vendre Linux (aussi cher qu'on veut),
il n'y a aucune interdiction. La communauté de travail qui oeuvre avec les
logiciels libres est préoccupée par l'efficacité réelle de son objet, la
question du prix est annexe, mais jamais abandonnée. Ainsi, le copyleft
n'est pas le domaine public, mais bien un copyright amélioré.

- Olivier Blondeau, sociologue, répondant à une question posée dans le
public, faisait comprendre la notion de source d'une oeuvre logicielle.
Oeuvre, d'ailleurs nommée "littérature". Il y a deux éléments constitutifs
de cette source, de cette origine : le code-source (l'écriture proprement
dite d'un programme) et la source communautaire, l'ensemble des gens qui
utilisent, ont travaillé et sont dans l'éthique de ce qu'ils pratiquent.
L'aspect communautaire est essentiel, il est originel. Il va de paire avec
l'oeuvre.

- Mélanie Clément-Fontaine, juriste et auteur de la première étude
juridique sur la GPL, nous précisa, les termes de la General Public
License. Elle est tout à fait adaptée à notre société de l'information car
elle autorise et encourage le partage du savoir, tout en protégeant cette
liberté contre l'emprise propriétaire et purement marchande. L'idée du
copyleft n'est pas l'abandon du droit d'auteur, au contraire, c'est le
faire valoir, avec cette possibilité de partager le fruit de son travail
dans des conditions qui garantissent la libre circulation. La question
qu'elle pose aux artistes est celle-là : Le droit est un outil, que voulez
vous faire maintenant avec cet outil GPL dans le champ de l'art? Bonne
question et les élèments de réponses ne manquent pas...

-Dominique Dufau du CAAP (Comité des Artistes Auteurs Plasticiens), après
une autre intervention polémique de Eve Nyle, faisait lui aussi remarquer
que la vraie question, avec la liberté et la libre circulation des
informations et du travail, était les conditions de vie des créateurs, leur
réalité économique. Et ceci amenait à envisager le problème sous un angle
franchement politique, dépassant la stricte question du logiciel libre. Il
se demandait si celui-ci pouvait véritablement être un modèle ou au
contraire, un néo-libéralisme déguisé.

- Pour le Syndicat Potentiel, en la personne de Xavier Fourt, la gratuité
n'est pas la chose en soi la plus importante. Même avec la création d'une
zone de gratuité en plein Paris, le but recherché par le Syndicat Potentiel
est de remettre en cause un système marchand qui ne tolère aucune autre
économie que la sienne. Celle de l'art et des travaux particuliers rentrant
difficilement dans le moule de la loi absolue du marché.

- Hop hop! Charlie Nestel, professeur à Paris 8 et créateur de Babelweb,
fait une apparition brève mais remarquée pour rappeler aux artistes
l'histoire de la contestation du copyright par l'Internationale
Situationniste et dire combien la GPL et le copyleft est une idée géniale,
qui à la fois remet en cause le simple copyright, mais en plus, a
l'intelligence, dans le cadre de la loi, de protéger les auteurs contre
l'emprise des propriétaires-prédateurs, de la privation d'acces au savoir
et de sa circulation.  Le rapport entre les logiciels libres et l'art est
évident. Mais cela demande une exigence ethique qui ne supporterait pas l'à
peu près. C'est radicalement une autre économie, c'est une rupture avec sa
logique actuelle.

- Puis Bobig (free art = free artist) distribua des bons de comande pour
recevoir gratuitement une oeuvre de lui. A la croisé d'un art brut et des
nouvelles technologies Bobig est très présent sur l'internet et gagne sa
vie en travaillant par ailleurs.  Ensuite, les Acolytes de l'Art ont
expliqué leur travail basé sur la gratuité, le don et la perte totale même.
Ceci n'étant pas véritablement copyleft, mais dans un esprit no copyright
qui interroge aussi ce qui domine les échanges. Il fut aussi question
d'Ailleurs* en la personne de Thierry Théolier, qui pratique un art qui se
veut débarrassé de l'idée de l'art et de ses lieux conventionnels.

- Unglee, artiste photographe, fort de son expérience d'administrateur en
95/96 à la SPADEM, une société d'auteur aujourd'hui disparue, insista sur
l'importance pour un artiste à revendiquer ses droits. Comment ce fait-il
que la plupart des artistes qui participent à une exposition dans un musée
ou un centre d'art ne soient pas rémunérés, alors que le commissaire de
l'expo, le personnel du lieu et dans le cas d'une édition de catalogue,  le
critique d'art, la maison d'édition etc, soient eux payés?... Comment cela
se fait-il? Les artistes n'ont-ils pas besoin de manger comme tout le monde?

- Patrick Bloche, Député PS, auteur de "Désir de France" rapport fait au
1er ministre sur la présence internationale de la France et de la
francophonie dans la société de l'information, posa les problèmes auquels
sont confrontés les artistes pour protéger leurs droits avec les NTIC.
Cette question est essentielle et se confronte toujours à des volontés de
pouvoir de la part des plus forts. Une solution pourrait-être, ce qui a été
proposé lors de la Commune de Paris : considérer les artistes comme
"travailleurs culturels" et les rétribuer en fonction. Cette proposition
est à envisager avec prudence.

- Les questions, encore une fois ne manquèrent pas. Je serais bien
incapable ici et dans le temps que je me donne pour écrire ce compte-rendu
rapide et forcement incomplet, de traduire la richesse des échanges et des
réflexions. Les perspectives s'annoncent passionnantes.


	Dimanche 23/01/00 :
(moins de monde que les 2 jours précédents, quelques uns seront venus les 3
jours, d'autres 2 ou 1 seul)

- Philippe Mairesse, au nom d'Acces Local, commença en expliquant la
position artistique et économique du travail que fait Acces Local et dire
sa résistance à la libre circulation du travail, à l'investissement dans
l'immatériel comme source de valeur et préférant au flux généré, un arrêt,
une immobilisation pour maîtriser cette inflation jugée extrêment
néo-libérale et allant dans le sens de ce contre quoi elle est censée
s'opposer. Idem, pour la notion d'auteur. Le copyleft, n'est-il pas la
disparition de l'auteur au profit d'une économie impalpable, immatérielle,
insaisissable et qui, avec la force de la circulation, emporte toute
résistance à son passage?

- Ce à quoi je répondais que la circulation du savoir et des objets
répondait à du transport, voire même, à du  transport amoureux, tout
simplement. Ce qui est en jeu avec le logiciel libre, ce n'est pas tant
l'application à la réalité (celle que l'on subie et qui nous écrase du
poids de sa "nature") mais bien plutôt une recherche fondamentale de réel,
celui qu'on crée contre toute réalité.  Liberté, égalité, fraternité! Avec
la liberté, c'est l'égalité et surtout la fraternité que nous recherchons.
L'économie qui sous-tend le logiciel libre est exemplaire de cette
attention qui trouve racine dans toute exigence révolutionnaire ou tout
simplement humaine. Le marché ne fera pas la loi à lui tout seul, il y a
des règles de l'art dans tous domaines et celles-ci sont faites pour notre
liberté en toute égalité et fraternité. On est pas des chiens, ni même des
requins...

- Roberto Martinez d'expliquer son insastisfaction en tant qu'artiste à la
situation économique et juridique de l'art actuel. La plupart de ses
travaux échappant aux critères de jugement voire même de valeur des
galeries et des gens du monde de l'art. Alors, quelle attitude, quelle
position prendre? Baisser les bras? Non, mais poursuivre une pratique qui
répond à certaines exigences et l'opposer à ce qui fait force de loi. Les
artistes ne sont pas des extra-terrrestres et ce qu'ils développent doit
être apprécié à sa juste valeur.

- Mine de rien et sans en avoir vraiment conscience, certaine pratiques
artistiques très simples, mais exigentes, correspondent à l'esprit d'une
attitude copyleft. Olga Kisseleva nous montra une série de diapos où elle
pose, dans différentes régions du monde, quelques questions élémentaires
comme : "how are you?" Cette attention vers l'autre et son implication
inscrite dans le travail de l'artiste est une recherche de liberté,
d'égalité et de fraternité qui va de paire avec l'esprit du copyleft.

- Eric Maillet s'interrogeant sur ce qui actuellement est un art copyleft.
Certainement pas ce qui se revendique gratuit et dégagé du droit d'auteur.
Une discussion passionnée à ce sujet, entre artistes, montra que les
notions qui sont contenues dans le copyleft embrassent des choses
importantes et sensibles. Puis, une cyber-jambe fit son apparition, puis,
d'autres choses, je ne me souviens plus exactement.

- Frédéric Goudal, photographe et informaticien conclu sur ce bon conseil :
lire la GPL (par ex ici :
http://www.linux-france.org/article/these/gpl.html). Car trop souvent la
confusion et faite entre le copyleft et le domaine public, la gratuité,
l'abandon du droit d'auteur, etc... Auparavant, il faisait part de sa
double expérience d'artiste et d'informaticien et se posait des questions
sur comment agir maintenant qu'on a croisé les regards entre GPL et Art
contemporain.

- Maintenant c'est ça :
  Les 24, 25 ,26 Mars 2000 à public>, 4 impasse Beaubourg, 75004 Paris
(horaires à préciser)
Deuxième partie de "copyleft attitude" : elle est orientée travaux
pratiques, compte rendu de la première partie, perspectives d'actions et
élaboration de la revue "Allotopie" qui rendra compte de "Copyleft
Attitude".
En attendant on peu participer à la mailing-liste "art et gauche d'auteur"
(sur le site de "copyleft attitude" http://copyleft.tsx.org.) Quelque chose
se construit, qui n'est pas une cathédrale, mais un joyeux bazar où on va
trouver tout simplement son bonheur.

- Retransmission sur le canal "art et culture" de la Citoyenne sur
<http://www.citoyenne-tv.net> à partir du jeudi 27 janvier.


Compte-rendu de "copyleft attitude" les 21,22 et 23/01/00 à Accés Local.
(version 1.0)(26/01/00)
copyright © Antoine Moreau
Copyleft : Cette information est libre, vous pouvez la redistribuer et/ou
la modifier selon les termes de la Licence Publique Générale GNU telle
qu'elle est publiée par la Free Software Foundation http://www.fsf.org/ ;
soit la version 2 de cette licence, ou (à votre choix) toute autre version
ultérieure.
Il est demandé de m'envoyer auparavant votre texte de façon à préserver la
justesse des faits rapportés. Votre nom, e-mail et date de la modification
du texte source figurera explicitement dans le texte.
Ce texte copylefté figurera ici :
http://antomoro.free.fr/c/cc/copyrendu.html et sera, dans les conditions
admises ci -dessus, libre de circulation et transformation par d'autres
participants à ces journées.
Ce travail est distribué dans l'espoir qu'il sera utile. Voir la Licence
Publique Générale pour plus de détails
http://www.linux-france.org/article/these/gpl.html  (version française non
officielle) ou écrivez à la Free Software Foundation, Inc., 675 Mass Ave,
Cambridge, MA 02139, USA.





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